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13 mars 2015 5 13 /03 /mars /2015 17:08

Le groupe haïtien a fait le bonheur des ambianceurs lors des bals dansant aux Antilles françaises et ailleurs. La preuve : https://www.youtube.com/watch?v=0duwzi8Kdew

Monter le son !

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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 08:19

Après la révolution en octobre au Burkina Faso, la 24e édition du Fespaco s'est déroulé comme prévu le 28 février et se terminera le 7 mars à Ouagadougou. Pour la première fois, le plus grand festival panafricain du cinéma et de la télévision ouvre sa compétition pour l’Étalon d’or à la diaspora africaine et aux films tournés en numérique. L'ambition du premier Festival post-révolutionnaire et la liste des 20 longs métrages en lice ont été dévoilées le 15 janvier lors d’une conférence de presse à Paris.

Ni la révolution, ni Ebola, ni l’instabilité politique ne leur avaient fait changer d’avis. Après l’annulation du Tour cycliste du Faso et du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (Sias) en automne dernier, les responsables du Fespaco ont décidé de maintenir à la date prévue le plus grand festival panafricain du cinéma et de la télévision, la fierté de tout un continent. Les festivaliers pourront se sentir en sécurité, ont martelé Éric Tiaré, l’ambassadeur du Burkina Faso en France et Jean-Claude Dioma, le ministre burkinabè de la Culture : « il n’y a aucun cas d’Ebola signalé au Burkina Faso et le service de sécurité a été renforcé ».

Quant à l’engouement pour le cinéma en Afrique, il est resté intact. 720 films ont été envoyés et 134 sélectionnés pour les cinq sections. 20 films se trouvent en lice pour le prestigieux trophée de l’Étalon d’or de Yennenga. « Tous ces films sont le reflet d’une Afrique dynamique, explique Ardiouma Soma, le délégué général du Fespaco au micro de RFI. Ce sont des films qui montrent l’Afrique dans son évolution et sa progression. Cette sélection montre aussi l’importance et le rôle des artistes d’une façon générale et des cinéastes en particulier. Ils ont décidé de s’impliquer dans la vie de leur nation, dans l’évolution de leurs différents pays et de se mettre au côté de leurs compatriotes pour raconter l’Afrique actuelle et témoigner à toutes les générations qui viendront demain. »

Le jury de la catégorie phare des longs métrages sera présidé par le réalisateur ghanéen Kwaw Ansah qui avait obtenu le Grand prix du Fespaco pour Heritage Africa (1989). En 2015, parmi les grands favoris se trouvent des films comme Timbuktu, l’œuvre du Mauritanien Abderrahmane Sissako sur les jihadistes à Tombouctou, qui est également nommé pour l’Oscar du Meilleur film étranger. Philippe Lacôte présentera Run, sa vision de la crise ivoirienne. Dans C’est eux les chiens, Hicham Lasri s’attaque au Maroc d’aujourd’hui à partir des « émeutes du pain » dans les années 1980. Il y aura le Printemps tunisien réalisé par Raja Amari, mais aussi Fièvres, l’histoire mise en scène par Hicham Ayouch entre un père et un fils déracinés habitant la banlieue parisienne.

À côté de ces films déjà acclamés et primés lors d’autres festivals, le délégué général Ardiouma Soma promet de vraies découvertes labellisées « Fespaco » pour les sept salles de cinéma réactivées pour le festival : « Il y aura beaucoup de films que le public du Fespaco va découvrir pour la première fois et au moins sept films feront leur grande première comme Morbayassa du Guinéen Cheik Camara, L'œil du cyclone du Burkinabè Salif Traoré ou Cellule 512 de Missa Hebié, également du Burkina Faso. »

Pour la première fois, des films de la diaspora africaine ont été intégrés dans la compétition. Et pour la première fois depuis la création du festival en 1969, les réalisateurs ne seront plus obligés de réaliser ou convertir leur film en 35 millimètres, un format coûteux et devenu anachronique. Les défis de ce nouveau départ en diapason avec la technologie seront longuement discutés lors d’un colloque consacré au « Cinéma africain : production et diffusion à l’ère du numérique ».

Ainsi la modernité fera perpétuer la tradition cinématographique du Festival. Reste à savoir à quel degré l’esprit de la révolution d’octobre aura un impact sur le déroulement du festival. Car depuis la destitution du président Blaise Compaoré des langues se libèrent. À l’instar du réalisateur tunisien Mohamed Challouf, plusieurs voix dénoncent aujourd’hui d’avoir été, dans le passé, censurées au Fespaco. Des accusations récusées par le nouveau délégué général Ardiouma Soma qui étaient longtemps le directeur artistique du Festival : « Je peux vous dire que le Fespaco n’a jamais fait de censure. Et concernant cette année, le ministre de la Culture a reçu la sélection du festival juste le matin de la conférence de presse. Tous les gouvernements du Burkina ont laissé la main libre à la direction du festival. »

Pour Jean-Claude Dioma, le nouveau ministre de la Culture et du Tourisme, il faut regarder le passé en face et en tirer les leçons : « Maintenant, l’esprit change. À l’intérieur et à l’extérieur, il y avait peut-être une tendance à censurer un certain type de films. Et c’est là que toutes les choses changent. Les nouvelles autorités entendent laisser véritablement la libre expression à tous les cinéastes et artistes qui veulent s’exprimer. Depuis les événements d’octobre, les gens sont libérés. Des grands dossiers qui étaient tabous vont être mis sur la table. Et ce Fespaco va être le lieu pour cela. »

« La force du festival, bien que ce soit en Afrique, où, généralement, on pense que la censure règne en maitresse, il se trouve que le Fespaco a démontré tout le contraire depuis des années », souligne le cinéaste burkinabè Gaston Kaboré. L’Étalon d’or de Yennenga en 1997 pour Buud Yam est convaincu que le Fespaco devait rester ce qu’il a toujours été : « Sincèrement, je pense que le Festival est une manifestation très mature, non pas qu’elle soit parfaite, mais depuis très longtemps, le Fespaco a sa personnalité, son identité. Bien sûr, elle n’échappe pas aux aléas et aux événements historiques et politiques de notre pays, mais c’est ça le Fespaco. Quel qu’a été le moment dans la vie de notre pays, la force du festival a toujours été de rester sur sa route, d’être à la disposition du cinéma africain. C’est aussi un lieu de rencontres, d’échanges, de confrontations des idées et cela doit le rester quoi qu’il arrive. »

D’autres artistes, comme le chorégraphe burkinabè Serge Aimé Coulibaly, ont peur que la première édition du Fespaco après la révolution s’annonce trop timide compte tenu du nouvel élan qui règne dans le Burkina Faso de l'après-Compaoré. « Cela aurait été intéressant de donner complètement une autre dynamique à ce festival qui est l’un des plus grands et l’un des premiers en Afrique. Avec l’espoir qu’on avait donné avec notre révolution à cette Afrique, on pourrait le transformer en quelque chose de magique avec le Fespaco, parce que cela fait des décennies qu’on organise cette manifestation, mais on a toujours l’impression qu’on vient de commencer il n’y a pas longtemps. Là, il y a une nouvelle énergie dans le pays, il y a la jeunesse qui est là, il y a plein de places dans la société qui ont changé. »

Et le chorégraphe burkinabè qui présente actuellement à Paris sa pièce prémonitoire Nuit blanche à Ouagadougou dans laquelle il avait anticipé la chute du président Blaise Compaoré continue : « Je pense que les autorités ont maintenu le Fespaco pour dire qu’il y a une continuité. On continue, malgré tout. Honnêtement, je n’ai aucune envie de revoir le même Fespaco que les années précédentes s’il n’y a pas d’autre chose qui se passe. Le maintenir juste pour qu’il se fasse, on y gagne quoi ? Le monde a les yeux tournés vers le Burkina, parce qu’on a fait des choses. C’est le moment où l’on doit encore briller, briller encore plus dans notre ingéniosité, dans des choses les plus simples pour qu’on voie cette intégrité de l’homme burkinabè. »

Même son de cloche chez Smockey, le rappeur préféré de la jeunesse burkinabè et l’un des fondateurs du mouvement civique Le Balai citoyen. À la question s’il chantera lors de la cérémonie d’ouverture du Fespaco qui se tient traditionnellement au Stade du 4-août, il rétorque : « Ce n’est pas du tout évident. Jusqu’ici, les régimes ne m’ont jamais invité au Fespaco. Cela s’entend et cela se comprend. Aujourd’hui, il y a eu changement de régime, peut-être, effectivement, on fera appel à moi. Mais, dans la même période, je suis censé sortir mon prochain opus, donc j’ai déjà beaucoup de pain sur la planche. Mais, si on a besoin de moi, bien sûr, évidemment, je répondrai présent. »

Le film « Timbuktu », du cinéaste mauritanien Abderrahmane Sissako, est finalement maintenu dans la programmation officielle du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), dont l’ouverture aura lieu ce 28 février 2015.

L’information a été donnée ce 27 février 2015 par le ministre de la culture Jean-Claude Dioma. « Le gouvernement du Burkina faso a décidé de la diffusion de ce film « Timbuktu« , a affirmé le ministre à la Radio nationale du Burkina.

Ce film sera diffusé dans les différentes salles du FESPACO, a indiqué Jean-Claude Dioma. Un communiqué du service d’information du gouvernement est venu confirmer cette information en début de soirée.

« Le Gouvernement burkinabè et le Comité d’organisation du FESPACO tiennent à rassurer les cinéastes, les festivaliers les journalistes et les cinéphiles que le film Timbuktu est en compétition officielle pour l’Etalon de Yennenga à l’instar des autres films sélectionnés« , peut-on y lire en effet.

Le retrait de ce film avait été envisagé pour des raisons sécuritaires, liées notamment au thème abordé par le film « Timbuktu ».

Pour le ministre, bien que les autorités n’ont pas eu vent de menaces concrètes, des mesures sécuritaires seront cependant prises pour parer à toute éventualité. « Ces risques, il faut les prendre au sérieux« , indique-t-il.

« Le gouvernement burkinabè rassure l’ensemble des festivaliers que les dispositions sécuritaires et sanitaires sont déjà prises pour le bon déroulement du FESPACO 2015« , ajoute le communiqué du gouvernement.

Toujours dans le cadre des mesures de sécurité, un lot de matériels de protection contre le virus Ebola a été donné au comité d’organisation.

Composé essentiellement d’une cinquantaine de thermo-flash et de solutions hydro- alcooliques, le matériel dont la valeur a été évaluée à six millions de FCFA, est l’œuvre du ministère burkinabè de la Santé et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), rapporte l’AIB.

Outre ce matériel, les donateurs ont remis un support de spots audio et vidéo au comité d’organisation pour faire passer des messages de sensibilisation sur le virus Ebola à la radio et à la télévision et sur le plateau d’animation du FESPACO.

(Sources diverses : http://www.fespaco.bf/fr/ ; http://www.rfi.fr/afrique/20150116-fespaco-2015-films-africains-diaspora-pas-revolution-cinema/ ; http://burkina24.com/2015/02/27/fespaco-2015-timbuktu-maintenu/ ;

http://www.quecherchezvous.fr/2015/02/timbuktu-ou-le-djihadisme-comme-nouvelle-forme-du-totalitarisme.html ; http://www.rfi.fr/afrique/20150116-fespaco-2015-films-africains-diaspora-pas-revolution-cinema/ . )

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 08:37
Le secteur du tourisme en Angola a atteint l'année dernière un chiffre d'affaires de 216 milliards 221 mille kwanzas (AKZ), équivalent à 21.622.000 milliards de dollars, a déclaré jeudi le ministre de l’Hôtellerie et Tourisme, Pedro Mutindi.

Selon le ministre, qui parlait lors de la présentation du projet de loi sur le tourisme, ce chiffre d'affaires avait compté sur la contribution des services fournis par les hôtels et similaires.

Pedro Mutindi a informé qu'il y avait actuellement en Angola 183 hôtels, 88 campements touristiques, six hébergements, dans un total de 17.855 lits.

Le secteur, qui en 2014 avait un total de 202.776 employés, a reçu 594.998 touristes, principalement européens et africains.

Le projet de loi sur le tourisme, approuvé en général ce jeudi, établit le cadre juridique en charge de l'organisation, la supervision, la promotion et le développement du tourisme.

Il s’agit d’un diplôme qui, après son approbation finale, s’appliquera aux activités touristiques dans les secteurs public et privé, aux touristes consommateurs de produits et services.

Avec l'approbation en général, la proposition de la Loi sur le tourisme sera discutée dans les Commissions de spécialités, avant d’être soumise en plénière à l'Assemblée nationale, pour une autre discussion et l'approbation finale.

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 08:37
Les autorités angolaises vont débuter, à partir de Mars prochain, la concession de visas de tourisme et ordinaires pour entrées multiples, a annoncé lundi dernier, à Luanda, le ministre angolais de l'Intérieur, Angelo Veiga Tavares.

Dans son discours à l’ouverture du Conseil consultatif élargi de son Secteur, le politique a expliqué que le processus de modernisation en cours au Service de Migration et Etrangers (SME) avait permis de dépasser les conditions qui avaient déterminé la non application immédiate de la multiplicité d’entrées dans certains types de visas.

En effet, il a souligné que pour la concession de ce type de visas on devait observer les limites prévues dans la Loi 02/07 du 31 Août sur le Régime juridique des étrangers en République d’Angola.

Il a fait savoir que bientôt entrerait en fonctionnement, à l’Aéroport international “4 de Fevereiro”, à Luanda, le système RAPIDE qui permettra aux citoyens angolais et étrangers concernés par différents accords existant, la transposition de la frontière (la sortie et l’entrée) de façon automatique, en moins de 15 secondes.

Ângelo Veiga Tavares a informé, par ailleurs, que son Secteur œuvrait pour doter le Service Pénitentiaire de conditions adéquates et donner réponse au phénomène de la surpopulation carcérale, afin de permettre une meilleure gestion de la vie pénitentiaire.

Pour cela, il a considéré que la direction du Service Pénitentiaire devait imprimer plus de discipline, rigueur et contrôle dans l’observance des normes de sécurité et discipline des effectifs et détenus.

Quant au Service de Protection Civile et Pompiers, il a observé que l’Organe devait être attentif et adopter les meilleures mesures préventives, pour qu’on puisse minimiser les effets négatifs des pluies annoncées pour cette saison et d’autres éventuelles calamités dans toutes les régions vulnérables du pays(…).

Ces assises qui vont clore leurs travaux ce mardi, réunissent des responsables des organes centraux et délégués provinciaux du Ministère de l’Intérieur qui, entre autres, vont dresser le bilan des activités réalisées par l’Organe en 2014 et faire des perspectives d’autres actions.

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 08:33
Un hôtel de quatre étoiles dénommé "Hotel Diamante", de 179 chambres, huit salles de réunion et un auditoire capable d'accueillir 300 personnes, a été inauguré mardi, à Luanda.

Situé sur la rue des Kipakas, la nouvelle infrastructure, estimée à environ 40 millions de dollars, comprend 26 suites, dont une présidentielle et l’autre ministérielle, des restaurants, bars, salles privées, une salle de gymnastique, une piscine, entre autres.

L’hôtel, dont les travaux ont duré plus de cinq ans, a été construit en partenariat avec une entreprise privée chinoise, à partir d’une structure déjà existante dans ce lieu.

A la cérémonie d’inauguration, le ministre de l’Hôtellerie et Tourisme, Pedro Mutinde, a dit que l’infrastructure assurerait le logement des touristes nationaux et internationaux.

Dans l’entre-temps, le Président du Conseil d’Administration de l’Entreprise Nationale des Diamnats (Endiama E.P), António Carlos Sumbula, a souligné que le diamant est une ressource non renouvelable, raison pour laquelle il y a tout intérêt de commencer à investir dans des zones qui soient pas purement minérales.

Selon lui, une autre raison a trait aux orientations du gouvernement angolais sur la nécessité permanente de créer des postes de travail.

Avec l’entrée en fonctionnement de l’Hôtel Diamante, 120 postes de travail ont été créés, prévoyant pour les prochains temps augmenter ce nombre à 200.

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 08:27
Le navire militaire américain "United States Navial Ship (USNS) Spearhead" arrive mardi prochain à Luanda pour une visite de cinq jours pour l'échange d'expérience avec la Marine de guerre angolais, a informé vendredi, l'ambassade des Etats-Unis en Angola.
D'après une note de presse de cette mission diplomatique, pour mercredi prochain il est prévu une réception à bord du navire militaire américain destinée aux autorités angolaises, au corps diplomatique et aux compagnies privées.
Ladite réception a comme objectif de réunir divers ministères, ambassades, organisations étrangères et des entreprises privées, qui s'intéressent et travaillent pour le renforcement de la sécurité maritime dans le Golf de Guinée.
Cette embarcation à mi-chemin vers l'Angola a déjà fait des exercices militaires avec les marines de Cabo Verde, du Sénégal et du Ghana.
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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 08:25
Net One et l'Organisation de la Femme Angolaise(OMA, sigle en portugais) réunissent leurs efforts pour la valorisation des faits de la femme angolaise dans les divers fronts, dans le cadre de la réalisation du programme "Março Mulher" (Mars Femme), a affirmé jeudi, la responsable de communication de OMA, Rita Matias.

L'association entre l'entreprise de télécommunication et OMA advient de la campagne réalisée par cette entreprise qui met en relief le rôle de la femme angolaise dans la vie publique. Cette campagne, va du 25 février au 30 mars et se limite à peine à la ville de Luanda.

‘‘Cette année, nous avons décidé de investir davantage, tant dans l'image de la femme angolaise comme dans ces valeurs. Nous travaillons avec les femmes de l'entreprise et nous croyons que ça va donner plus de crédibilité”, a affirmé Rita Matias.

En investissant sur ces ressources humaines pour la réalisation de la campagne et non dans les modèles professionnels, a-t-elle ajouté, l'entreprise veut transmettre des valeurs comme transparence, authenticité, confiance et sécurité à travers des femmes qui travaillent et luttent pour leurs objectifs.

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 08:23
Le Conseil de ministre a approuvé vendredi à Luanda une proposition de révision de la Loi générale sur d'Electricité, en vue de reformuler les dispositions relatives à la compétence de toutes les entités publiques directement concernées par le processus de production, de transport, de distribution et de commercialisation de l'énergie électrique

Cette proposition de révision de loi, approuvée durant la 2ème session ordinaire du Conseil de ministres, comprend également les principes d'établissement du tarif et de la fourniture de l'électricité à population pour le développement du pays.

La proposition de loi contient également l'harmonisation de ce diplôme légal avec d'autres instruments juridiques en vigueur, précise un communiqué de presse rendu public au terme de la réunion tenue au Palais présidentiel et présidée par le chef de l'Etat angolais, José Eduardo dos Santos.

En vue de mieux exploiter les réserves des hydrocarbures existantes dans le secteur de la concession du Bloc Centre de la Zone Terrestre de Cabinda, le Conseil des ministres a approuvé la concession à la Société Nationale des Hydrocarbures (Sonangol) les droits miniers de prospection, de recherches, de développement et de production des hydrocarbures liquides et gazeux dans ce secteur.

Dans le cadre de la réglementation spécifique de la Loi sur les Associations, le Conseil des ministres a approuvé le règlement des Organisations non Gouvernementales, un document qui établit le régime juridique d'exercice d'activité et de fonctionnement des ONG nationales et étrangères qui opèrent en Angola.

Par ailleurs, le Conseil des ministres s'est penché sur un décret portant création d'un Institut de Promotion et de Coordination d'Aide aux Communautés (IPROCAC) et a approuvé son statut.

Ce nouvel Institut (Iprocac), qui est né de la dissolution de l'Unité Technique de Coordination d'Aide Humanitaire (UTCAH), aura comme personnel tous les anciens fonctionnaires de cette Unité technique. A lui reviendront également le patrimoine, les responsabilités, ainsi que l'actif et le passif de l'organe dissout.

Les Conseil des ministres a aussi passé en revue les décrets présidentiels qui approuvent les statuts organiques de l'Inspection Générale du Travail, de l'Institut National d'Etudes Juridiques (INEJ) et de l'Institut de Développement Touristique d'Angola (INFORTUR).

Enfin, le Conseil des ministres a approuvé la nomination du Conseil d'Administration de l'Institut Angolais des Communications (INACOM).

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 08:21
Le Parlement angolais a débattu vendredi à Luanda des questions liées aux "Démolitions, droit à l'habitat et à la qualité de vie", en vue de résoudre ces problèmes et de sensibiliser les citoyens au danger de construire des maisons dans des zones où le risque d'écroulement est imminent, surtout pendant la saison pluvieuse.

Le débat a été précédé de la lecture d'un rapport conçu par diverses commissions de travail de l'Assemblée Nationale (Parlement), contenant des informations recueillies des opinions du public et fournies aux acteurs politiques, spécialistes et architectes.

Selon le document, la guerre fratricide que le pays a connue a largement contribué à la croissance démographique et surtout à la construction désordonnée des bidonvilles, ce qui, selon le rapport, suscite une série de problèmes de nature sociale, politique et économique.

Le débat sur les démolitions a été proposé par l'UNITA, principal parti de l'opposition.

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 08:19
Le commandant général de la Police Nationale, le commissaire général Ambrósio de Lemos, a déclaré vendredi, dans la municipalité d'Andulo, à 130 kilomètres au nord de Cuito, chef-lieu de la province de Bié, que la police répondait aux sollicitations de la population.

Ambrósio de Lemos, qui a fait cette affirmation à la presse locale, en marge de l'inauguration du commandement municipal de la Police Nationale de Andulo, a appelé les habitants à dénoncer tout acte criminel.

Il a garanti que la Police Nationale allait continuer à investir dans la modernisation de ses services et dans la formation de son personnel pour mieux répondre aux exigences dans l'avenir.

Il a dit qu'avec les commémorations du 39ème anniversaire de Police Nationale, le commandement général travaillait pour constituer une police de plus en plus organisée, disciplinée et dynamique, de manière à continuer à répondre aux attentes des citoyens.

Le responsable a indiqué que les objectifs de la Police étaient de lutter contre la délinquance, sinistralité routière, l'immigration illégale et le trafic des drogues, outre d'autres maux qui affligent la société, dans le but de garantir la paix au sein des communautés.

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