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25 juin 2007 1 25 /06 /juin /2007 07:43

At the end the dawn...

Go away, Isaid, with your mug of copper, your mug of a pig, go away. I hate the flunkeys of order and the beetles of hope. Go away, you evil chaem, little punk of a monk. Then I turned towards heavens lost to him and his own kind, heavens more calm than the faceof a woman who lies, and there, lulled by the effluvia of a woman who lies, and there, lulled by the effluvia of endless thoughts, I fed the wind, I untied the monsters and I heard rise from the other bank of disaster, a river of turtle-doves and the clovers of the savanna I still carry deep inside of me at inverse depth of the twentieth floor of the most insolent houses and as guard against the putrefying power of ambient twilights, surveyed day and night by a cursed poxy sun.

Retourn to my Native Land.

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A
Au bout du petit matin...<br /> Va-t-en, lui disais-je, gueule de flic, gueule de vache, va-t-en je déteste les larbins de l'ordre et les hannetons de l'espérance. Va-t-en mauvais gris-gris, punaise de moinillon. Puis je me tournais vers des paradis pour lui et les siens perdus, plus calme que la face d'une femme qui ment, et là, bercé par les effluves d'une pensée à jamais lasse je nourrissais le vent, je délaçais les monstres et j'entendais monter de l'autre côté du désastre, un fleuve de tourterelles et de trèfles de la savane que je porte toujours dans mes profondeurs à hauteur inverse du vingtième étage des maisons les plus insolentes et par précaution contre la force putréfiante des ambiances crépusculaires, arpentée nuit et jour d'un sacré soleil vénérien.<br /> <br /> Cahier d'un retour au pays natal
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