Le blog d'Alain Serbin

Le premier astronaute afro-américain, Bernard Herris partagera mercredi, à Luanda, son expérience scientifique, technologique et mathématique avec des étudiants et professeurs angolais, sur les merveilles de l'espace.

 
L'initiative fait partie d'un programme dénommé  “Dream Tour” mis en oeuvre par Esso Exploaration Angola Limited, au nom de la Fondation ExxonMobil en étroite collaboration avec l'ambassade des Etats-Unis en Angola.

Le superviseur de communication et image, Mme Brenda Marques a déclaré que la présentation de l'ancien astronaute de la NASA servirait à promouvoir la coopération entre ingénieurs et géoscientifiques de la compagnie pétrolière américaine qui se basera sur l'importance d'établir et atteindre des objectifs visant à réussir dans le domaine de la science, technologie, ingénierie et mahtematique (CTEM).

 
La rencontre connaitra la participation des étudiants des Instituts Alda Lara, Industriel de Luanda, Economique de Luanda, des Ecoles de Formation de Professeurs nº 3021, Espérances International, du Centre de Formation du Cazenga et de l'Ecole International de Luanda.

 
Mercredi, l'ancien astronaute visitera la a Faculte des sciences de l'Université Agostinho Neto à Luanda, où il aura des contacta avec les étudiants et le coprs professoeral de cette institution.

 
Le “Dream Tour en Afrique” est un programme qui stimule les étudiants des écoles secondaires à atteindre leur potentiel potentiel, les encourager à adhérer à l'enseignement supérieur et à étudier le CTEM comme moyen de matérializer leurs rêves.

La Fondation Harris crée le  “Dream Tour” moyennant un financement de la Fondation ExxonMobil.

Le Président des États-Unis, Barack Obama, a mis en relief, à Washington, l' importance de la réalisation des élections générales en 2012 en Angola, comme base pour un futur prospère du pays.
 
 
 Barack Obama a fait cette considération en réponse au message présenté par le nouveau ambassadeur angolais dans ce pays, Alberto do Carmo Bento Ribeiro, au cours de la récente cérémonie d'accréditation, où il a reconnu l' importance du leadership de l'Angola en Afrique et a félicité le Président José Eduardo dos Santos pour avoir assumé la présidence de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC).
 
 
 "Les élections présidentielles et parlementaires qui auront lieu en Angola l'année prochaine seront une marque importante. L'Angola est beni par l' abondance de ses ressources naturelles, cependant, son peuple constitue  sa plus grande richesse. Les États Unis croient que la démocratie est la clé pour le profit de cette richesse et pour assurer un futur prospère pour tous les Angolais", a souligné Barack Obama.
 
 
 Le président américain a dit s'attendre que les États-Unis travaillent avec l'Angola dans la consolidation de sa démocratie et l'assistent à améliorer la vie de ses populations et atteindre son plein potentiet comme nation démocratique, prospère et pacifique.
 
 
 Il a rappelé que durant  sa première visite en Afrique, la secrétaire d'État, Hillary Clinton, avait effectué une visite historique en Angola, durant laquelle les deux pays avaient signé un Mémorandun d'Entente qui établit formellement un Partenariat stratégique basé sur le dialogue, sur le principe de respect, d'égalité et de bénéfíces reciproques.
 
 
 "J'ai reçu avec satisfaction l'information que la délégation américaine du Département d'Energie avait été chaleureusement reçue en août à Luanda, et qu'il y a eu des réunions positives et substantives ainsi que des conversations avec son Gouvernement. J'attends de grands succès aussi longtemps que nous continuerons à avancer dans notre dialogue" - a-t-il admis.
 
 
 Par ailleurs, le président Barack Obama a annoncé que les États-Unis projettent le resserrement des relations commerciales et d'investissement avec l'Angola, vu que les entreprises privées américaines sont en train d' investir fortement au pays, qui est actuellement le troisième partenaire commercial américain en Afrique  Subsaharienne ".

"Nous espérons étendre nos relations économiques au-delà de votre robuste secteur pétrolier" a-t-il souligné.  
 
S'adressant à l'ambassadeur Alberto do Carmo Bento Ribeiro, il a soutenu que son indication à Washington survient au moment crucial dans les relations bilatérales.

Durant la décennie passée, l'Angola a, non seulement récuperé de la guerre civile, mais est parvenu à développer une économie qu' actuellement se positionne entre les plus grandes en Afrique, a précisé Barack Obama.
 
 
"C'est avec un grand plasir que j'accepte vos lettres de Créances comme ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République d'Angola et je reconnais avoir reçu les lettres de démission de votre prédécesseur, l'ambassadrice Josefina Pitra Diakite, qui a été exceptionnelle en représentant votre pays aux États-Unis.
"J'espère travailler avec vous dans l'amélioration de notre coopération d'intérêt mutuel et renforcer les liens d'amitié et partenariat entre nos deux pays" - a affirmé  Barack Obama.

New-York, 11 septembre 2001. Il est 7h 59'. Un boeing 767 du vol 11, avec 92 passagers à bord, de ligne Boston-Los Angeles, décolle de l'aéroport. A son bord, cinq terroristes, des pirates). Peu de temps après, le même avion de la compagnie American Airlines percute la haute tour nord du WTC, (World Trade Center), au niveau des étages du 93è et 99è étage. Il est 8h 46'. Le feu s'embrase immdiatement formant un enfer rougeâtre. Le choc est terrible.

Stupeur, pour les New-Yorkais. "C'est incroyable !" ;  "L'Amérique est attaquée, nous sommes en guerre !" crie la foule.

Au même moment, un autre avion, un boeing 767du vol 175, de la compagnie United Airlines, décolle. Il devrait faire route

de Boston à Los Angeles. a son bord 65 personnes (dont les pirates de l'air). L'avion s'écrase à son tour, le sud de la tour du WTC entre le 77è et le 85è étage. "Oh my God", s'écrie une passante qui suivait la première scène du choc de l'autre façade de la tour du World Trade Center. Un feu d'artifice meurtrier suivi d'une boule de feu et de la fumée noire. Il est 9h03'. Panique générale. On court dans tous les sens. On cherche à se protéger comme on peut. La peur de l'éffondrement. Les deux tours jumelles avaient 110 étages pour le premier, et 130 étages pour le second tour.

Il ne faut pas oublier aussi de signaler que le coeur même de "Pentagone" a été à son tour attaqué, car à 9h 37' un boeing 757 du vol 77, de l'American Airlines, de ligne Washington-Dulles-San Francisco, s'écrase à son tour sur le Pentagone, le siège du Departement de la Défense des Etats-Unis. Et, enfin, à 10h03, un autre boeing 757 du vol 93 tente de s'écraser sur le Capitol, et finit près de Pittsburgh. A l'intérieur de l'avion, les passagers se seraient révoltés et intervenus courageusement empêchant un désastre.

Emotion totale aux Etats-Unis et dans le monde entier que les télévisions retransmettaient l'évènement tragique. Pour la première fois de son histoire, la première plus grande puissance du monde est attaquée, touchée par un attentat terroriste. Ce qui est étonnant, cette attaque s'est produit sur son propre sol. Le monde entier pleure ce drame national.

Dix ans déjà ont passé depuis ces attaques attribuées à l'organisation islamique d'al-Qaïda d'Oussama Ben Laden. Depuis, l'Amérique s'est vengé et attaqué en guise de riposte. Le chef 'terroriste' d'al-Qaïda sera abattu en Afghnistan par les militaires américains. La lutte contre le terrorisme continue. Le monde a changé depuis cette date du 11 septembre.

Plus rien ne sera plus pareille dorénavant. En occident, les gouvernements participent aux côtés des Américains pour mener à bien ce combat contre les islamistes. Que ce soit en Irak, en Afghanistan, ou ailleurs. Partout.

L'Amérique commémore aujourd'hui 11 septembre, cette date inoubliable. Ces événements ont terriblement marqué ce pays. Le monde entier s'associe en compatissant avec les Américains. Tous vont commémorer ces évènements.

Le Président Barack Obama s'est rendu sur les trois sites de la tragédie, (à New-York, Washington et Shankville (en Pennsylvanie), pour se receuillir, pour assister à des cérémonies, en compagnie des anciens présidents George W.Bush et Bill Clinton. L'ancien maire de New-York Rudolph Giuliani et l'actuel maire Michael Bloomberg seront présents à cette cérémonie.  

Le président du Parlement turc Cemil Ciçek a qualifié d'"irresponsable" samedi les mesures de rétorsion qu'envisagerait Israël contre la Turquie parmi lesquelles un soutien à la rébellion kurde.

 "Des gens qui ont rang de ministre s'engagent dans des discours aussi irresponsables, c'est très consternant", a-t-il dit dans des déclarations télévisées.

 Il réagissait aux propos du ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman cité par le quotidien israélien à grand tirage Yediot  Aharonot, qui a envisagé toute une série de mesures de rétorsion, lors d'une réunion spéciale du ministère jeudi.

 Israël mettrait en garde ses ressortissants ayant effectué leur  service militaire contre toute visite en Turquie de crainte de poursuites, appuierait  "une reconnaissance par le Sénat américain du génocide arménien", soutiendrait  la rébellion kurde du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et lancerait une offensive diplomatique contre la Turquie, écrit le journal.

 M. Ciçek a accusé les instigateurs de ce plan supposé de s'engager dans un "chantage" contre la Turquie et affirmé que s'il était mis en oeuvre "les problèmes deviendront entre plus complexes et inextricables" entre la Turquie et Israël, dont les relations sont actuellement au plus bas.

 Après des mois de tensions croissantes, Ankara a laissé éclater  sa colère début septembre face au refus israélien de présenter des excuses pour  une opération militaire israélienne qui a tué neuf turcs dans les eaux  internationales en mai 2010.

 Ankara a expulsé l'ambassadeur israélien et gelé les relations militaires bilatérales.

 Le PKK, considéré comme une organisation terroriste par la Turquie, les Etats-Unis et l'Union européenne, s'est engagé dans une lutte séparatiste armée en 1984. On estime que ce conflit a fait 45.000 morts depuis cette date.

L'universititaire Mário Pinto de Andrade a soutenu, vendredi, à Luanda, que le  Président de la République, José Eduardo dos Santos, avait la légitimité pour poursuivre son mandat avec dignité, qui doit être respecté par les forces polítiques du pays, selon les lois figurant dans la Constitution.

Mário Pinto de Andrade a fait cette déclaration, à propos des manifestations qui se déroulent dernièrement dans la capitale du pays, a indiqué que José Eduardo dos Santos a le droit de décider pour sa libre volonté s'il va continuer d'être la tête de liste du MPLA (parti au pouvoir) ou non, car les lois dans la Constition du pays  le pernettent.

"Si le Président décidait d'accomplir plus un mandat, sa décision et celle du MPLA doivent être respectées par les forces politiques du pays cas, car il n' y a nécessité de faire des manifestations contre un Chef d'État qui a une légitimité, ceci est une attitude malsaine et immature", a-t-il dit.

Dans ce contexte, l'universitaire a assuré que le Chef de l'État angolais a la légitimité de continuer à gouverner le pays, d'être également en compétition, dans le cadre du processus électoral de 2012.

Il a souligné, cependant, que la figure du Chef de l'État angolais a garanti la souveraineté depuis le moment qu'il a assumé la  présidence de l'Angola jusqu'à ce jour, contre les forces internes et externes, promouvant la paix définitive, d'où il mérite être respecté par tous les Angolais.

Il a ajouté que la politique est un processus de compétition qui a des règles, notamment l'application de la Constitution, la Loi Electorale, la Loi des Partis Politiques et le Code d'Éthique et de Conduite qui vont être approuvées par l'Assemblée Nationale.

"Ça ne vaut pas la peine créer des révoltes, inciter les jeunes pour combattre les institutions démocratiques au pays qui sont la Présidence de la República, le Parlement et les Tribunaux, car ainsi nous allons créer des situatiions desagréables pour un pays qui a deja vécu des moments diffíciles", a-t-il souligné.