Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 décembre 2008 3 24 /12 /décembre /2008 17:01
Partager cet article
Repost0
23 décembre 2008 2 23 /12 /décembre /2008 12:44

C'est un colosse de plus de deux mètres, Nicolaï Valuev, 35 ans, pour 144 kgs (!) au pesage, qui vient de remporter aux points le dernier combat pour conserver sa ceinture mondiale WBA, à Zürich, en Suisse, face à l'Américain Holyfield Thomas Brooks Evander, 46 ans, fabuleux boxeur dans la catégorie des poids lourds.
Un match injuste pour un combat scandaleux ! Le verdict des juges n'ayant pas convaincu, et le public venu très nombreux, a noté le favritisme, et qui a déshonoré le noble art qu'est la boxe. 
Tous ceux qui ont suivi le combat de boxe, ou vu le match à la télévision, sont unanimes pour réconnaitre que cette victoire du russe n'est pas méritée. Tout le long du combat, c'est plutôt l'Américain qui s'est bien défoncé, distribué des bons coups sur la face affreuse du boxeur russe. Un duel des géants dont la victoire devrait revenir à Hoyfield Evander. Hélas, quelle déception pour les amateur de la boxe ! S'il faut reconnaître que Valuev est quand même un bon boxeur, mais pour ce combat-là, face à Holyfield, il n'a convaincu personne, par sa façon de boxer immobile, l'Américain ayant donné de tournis au géant Russe, incapable de placer un bon coup de sa force et de son impressionnant physique. Le stade de ring, d'Hallenstadium de Zürich, fut plein à craquer. Sur le ring, deux meilleurs boxeurs du monde. Deux monstres à la carrure impressionnante. Tout le monde s'attendait à un super match de boxe au sommet. Malgré son âge avancé, le boxeur américain semblait plus jeune, plus mobile, et plus aérien, voire, plus affûté physiquement que jamais, avec son jeu de jambes et ses frappes plus précises, sur le visage de son adversaire, Nicolaï Valuev. Ce dernier étant d'une nochalance affligeante dans un long combat de douze rounds. Heureusement Holyfield nous a offert un beau spectacle de boxe, une leçon pour les jeunes. L'âge n'a jamais été un handicap pour lui, au contraire, sa boxe est restée intacte.

L'Américain s'est imposé dans le style dès les premiers rounds. Si ses coups de poings étaient plus précis et percutants, le Russe encaissait, telle une brute, sans broncher ! 
Des coups qui faisaient mouche sans faire du mal au Russe Valuev, du haut de ses 2,13 mètres et ses montagnes de muscles. Le pauvre américain Hoyfield avait pourtant sorti ses coups terribles qui ont fait de lui un grand boxeur, terminant ses combats le plus souvent par un knock out. Il faut dire aussi que,pour Holyfied, c'était son ultime combat pour tenter d'arracher la victoire au Russe et devenir l'un des champions de boxe le plus âgé.
A la fin du combat, les juges ont tranché tous en faveur de Valuev : 114-114 ; 118-112 ; 115-114, au grand mécontentement du public présent au pourtour du ring. Après son sacre, le Russe Nicolaï Valuev quittera la scène sous les huées, le coup de siflets hostiles du public déjà acquis au style de l'Américain Holyfield Evander. "Un scandale !", a crié le commentateur et la presse unanime. C'est le combat de boxe revoltant, un de plus, l'un des plus scandaleux de l'histoire de la boxe. On ne compte d'ailleurs plus le nombre de combats truqués dans ce sport de boxe. Aux Etats-Unis, ou ailleurs. Il faudrait que la Fédération intenationale remette un peu d'ordre sur ce noble sport de combat. Une discipline qui attire les jeunes pour les cachets mirobolants que touchent les boxeurs dans un grand match, ou lors de ce type de championnat. Mais derrière la beauté de ce sport, se cache des magouilles que le public ne découvre toujours pas encore. Oui, le Russe Nicolaï Valuev vient de conserver son titre de champion du monde. Au prix d'un scandale que les amateurs de la boxe n'aimeraient plus revoir sur les rings.

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2008 2 23 /12 /décembre /2008 11:18

Accusé de pressions sur la justice dans le cadre des efforts de sauvetage de la Banque "FORTIS", le premier ministre belge, Yves Leterme, a présenté sa demission au roi Albert II de Belgique, et qui l'a finalement acceptée.
Obligé aussi de démissionner l'ensemble de son gouvernement, provocant une nouvelle crise dans le royaume.

Depuis quelques temps, la Belgique est plongée dans des grâves crises politiques sans précédent, dont les deux grandes plus majeures, la formation du gouvernement de coalition, et cette dernière, pour une grâve affaire d'influence du chef du gouvernement Yves Leterme.

Au terme de la Constitution belge, il revient donc au roi d'accepter, ou de refuser, le départ du gouvernemet, ou encore, se donner un délai de réflexion. Le roi a donc décidé d'accepter la démission du gouvernement mis en place par le premier ministre Leterme. En principe, le roi avait opté pour la consultation du premier ministre, malheureusement celui-ci n'a plus la confiance des Belges, et doit quitter le pouvoir ainsi que son gouvernement. Un gouvernement entaché par ce scandale de trafic d'infuence dont le premier ministre Yves Leterme en est le principal responsable.
Son cabinet est arrivé au pouvoir en mars 2008, mais a du jeter l'éponge après que la plus haute juridiction du pays eut de nouveau accusé les services du premier ministre d'avoir tenté d'interférer dans le travail de la justice lorsqu'elle examinait les conditions du démantèlement de la banque "Fortis", décidé par le gouvernement. Dans un document très attendu, le président de la Cour de Cassation, M. Ghislain Londers, a écrit avoir des "indications importantes", que le gouvernement d'Yves Leterme a tenté de faire pression sur la justice.
Après la publication de ce rapport, le ministre de la Justice, Jo Vandeurzen a quitté son poste. Cette affaire risque débranler tout l'appareil gouvernemental. Le chef de ce dit-gouvernement qui est un habitué de fausses sorties, mais cette fois-ci, il est cuit. Il doit démissionner. En juillet dernier, il avait déjà démissionné faute d'avoir pu trouver un compromis au sujet des demandes d'autonomies accrues de la communauté flamande du pays à l'égard des francophones. Mais trois jours plus tard, le roi l'avait maintenu en poste. D'ailleurs, le roi, auquel il appartient en vertu de la Constitution, d'accepter ou non, la démission du gouvernement, a, une fois de plus encore, rencontré successivement les chefs des cinq partis de la coalition au pouvoir. Cette fois-ci, le roi a eu du mal d'accepter de le maintenir au pouvoir. 
Des élections légisatives pourraient alors être organisées de façon à coïncider avec des scrutins régionaux et avec les élections européennes. Il faudra alors que le roi puisse lui trouver rapidement un successeur. Pour l'heure, aucun parti au pouvoir ne réclame de nouvelles élections. Quant à l'opposition, elle réclame bien sûr des nouvelles élections.
A noter qu'Yves Leterme, premier ministre de la Belgique, n'a passer que neuf mois au pouvoir... 
Pendant toute cette agitation politicienne, le gouvernement doit encore défendre son plan de relance, au Parlement, mais cela risque d'être difficilement défendable. Et le plan risque d'être suspendu. Ce plan qui prévoyait le rachat des activités belges de "FORTIS" par la banque française "BNP-PARIBAS".
Le royaume de Belgique continue de retraverser des crises. Et c'est sa troisième crise depuis un an. La dernière crise en Belgique concernait les divergences Wallons et Flamands. Le roi Albert II avait alors refusé la démission du premier ministre Yves Leterme afin de tenter de sortir de l'impasse. 
Des jours difficiles attendent la vie politique belge. Seul le roi est toujours arrivé à calmer les tensions au royaume.
Tant cette affaire de "Fortis" est la plus grâve et peut fragiliser le premier ministre et le gouvernement à Bruxelles.
L'opposition  flamande a eu la voix la plus forte por réclamer les démissions du gouvernement Leterme. On reprochait à son cabinet   d'avoir reçu des informations confidentielles sur cette scandale, et surtout, de n'en avoir pas informé le procureur du roi, ce qui est contraire au code du pays.
Alors, qui va succéder à Yves Leterme ? On le saura très bientôt. Le peuple a les yeux tournés vers le palais royal.
En attedant, le roi Albert II vient de charger l'ancien premier ministre LAEKEN  WILFRIED  MARTENS, d'assurer l'interim et tenter de chercher un nouveau premier ministre pour former un nouveau gouvernement pour la Belgique.

Partager cet article
Repost0
21 décembre 2008 7 21 /12 /décembre /2008 11:18

La diplomatie russe préparerait-elle la carotte, et surtout, le bâton, de la nouvelle puissance de cette Russie ambitieuse ?  Faut-il la craindre, ou la comprendre, dans un monde en perpétuel danger permanent ? Pour le monde, la guerre froide est terminée. Donc, il n'y a plus rien à craindre. Vraiment ? Attention, la Russie ne rêve plus de redevenir une grande puissance. Elle l'est. Ou du moins le croit-elle encore, au vu des changements actuels sur des pays émergents et des ambitions des uns et des autres. Rappelons-nous toujours de l'Empire URSS qui a dominé le monde, de l'Europe de l'Est et ailleurs.
Hélas, après l'effondrement et la dislocation de ces pays-continent, la Russie qui fut la principale répubique de cette Union des Républiques Socialistes Soviétiques, U.R.S.S., n'avait jamais digérée cette humiliation affligée. 
Elle avait repris le flambeau pour essayer de réhausser l'image de son pays divisé et privé des pays- satellites.  
La Russie a toujours voulue rester une des grandes puissances dans le monde. C'est elle qui a remplacé l'URSS au Conseil de sécurité à l'ONU et à New-York. Ce statut lui fait remettre sur la scène internationale. Par la même occasion, fait ressurgir les ambitieux cachés de ce grand pays. L'actuelle diplomatie russe de ces dernières années témoignent de l'ambition affichée de la Fédération de Russie de se maintenir et d'avoir des pays amis qui lui seront nécessaires un jour, soit au sein de l'Organisation des Nations-Unies, ou encore renforcer sa présence politique sur la scène internationale. Des amis, la Russie n'en manque pas. Le pays veut des alliances en Europe, mais surtout en Asie : Chine, Inde, Pakisan, Corée du Nord, et tant d'autres pays encore. En Afrique, et pour la première fois, officiellement, en Amérique latine. C'est-à-dire, aux portes de son pays rival, les Etats-Unis.
Le tandem au pouvoir, le président Dimitri Medvedev, et son premier ministre, le tout-puissant Vladimir Poutine, le véritable numéro un en Russie, tout deux ont des ambitions pour leur pays. Depuis la chute d l'Empire URSS, en 1991, la Russie veut rendre la dignité aux Russes, et partir à la réconquête des deux premières super-puissances nucléaires de la planète. Reconquête de la place enviée, faire de la Russie, grand pays producteur de pétrole, un pays très riche, ce sont les ambitions affichées des leaders russes au pouvoir.
La Russie a des alliés objectifs : Kremlin entretient des bons rapports intéressés avec la Chine du président Hu Jintâo, une nouvelle superpuissance en devenir, tout comme avec l'Inde, de la présidente Pratibha Patil, (cette Inde, puissance nucléaire montante du Sud de l'Asie), donc, deux-pays puissants de l'Asie.
En Amérique latine, visiblement affichée à gauche, plusieurs pays se rapprochent de cette ancienne grande Super-puissance qui revient en force. Au gand dam de l'Amérique autoproclamée de Bush-la-Terreur. 
Le Vénézuela a été le premier pays à nouer des relations de parternariat et de coopération militaire avec Moscou.

Une manoeuvre militaire conjointe fut organisée entre les deux pays, sur les mers. Le monde a suivi avec attention cette exercice militaire en haute mer. Après le Vénézuela, tout récemment, ce fut autour de Cuba que la Russie à la recherche de consolidation de ses amies de se rapprocher. Ancienne alliée d'URSS, le pays de Fidél Castro  a acceuilli avec enthousiaste, au mois de novembre2008, le président Dimitri Medvedev et ses navires de guerre, avec Raul Castro le nouveau président de Cuba, puis en décembre. Renforçant du coup ses influences dans la région latino-américaine. En attendant la nouvelle administrative à Washington, le 20 janvier 2009.
La Russie, avec 17.075.400 km2 et ses 141.900.000 habitants, est un grand pays, par son étendue et son importance économique. A la fois en Europe, et en Asie, la Russie a des réserves naturelles importantes. Le pétrole est l'une des grandes richesses de la Russie. Grand producteur de l'or noir, ce pays devient de plus en
plus riche. Une grande bourgeoisie s'est développée dans cette minorité des oligarches riches en millions. Bien qu'européenne et asiatique, la Russie ne fait toujours pas partie de l'Union européenne. Malgré cette moitié d'appartenance à l'Europe, le pays reste attaché à cet espace géographie qu'il suit l'évolution mais aussi lui permet d'observer les attitudes de l'OTAN, ses manoeuvres, et plus encore, les installations américaines de ses antimissiles en Pologne, c'est-à-dire aux portes de la Russie. Ce qui ne lui plaît guère, et lui donne des pretextes de se réarmer pour parer à cette présence menaçante de cette organisation atlantique de l'OTAN. Une menace sérieuse pour les Russes. C'est pourquoi donc, la défense russe s'est augmentée. Le pays ne croit plus à la trêve de la course de l'armement que les Etats-Unis ne respectent même pas. La stratégie militaire de la Russie a rudement changé. La vieille quincaillerie datant de l'époque soviétique a été changée ou modernisée. En plus, le budget militaire du pays a été augmenté. La Russie ne craint plus l'affrontement avec l'Occident. Elle s'y prépare depuis la chute du communisme, ou les murs de Berlin, en 1990.
Le président Medvedev et son mentor ne cachent plus leur ambition de faire de la Russie autre chose qu'un pays de second zone. Le pays veut être pris au sérieux et veut participer à toutes les décisions internationales. La Russie ambitionne de tenir tête à tous les pays qui oseront la provoquer. Lorsque un petit pays voisin lui a défier, elle n'a pas hésiter d'entrer en guerre pour le punir et faire libérer deux de ses provinces du Nord.  Un message adressé à l'Occident pour lui dire de très bien faire attention à l'ours russe dont les griffes restent aiguisées !

Partager cet article
Repost0
20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 09:20

En Fance, les meilleures radios ne manquent pas. Il suffit de brancher son poste transistor, son récepteur de radios, et aujourd'hui,mieux encore, son ordinateur. L'internet nous a ouvert d'autres fenêtres et  pour d'autres horizons branchées. Hormis les grandes radios, sur les grandes ondes, comme : France Inter, France Infos, RTL, Europe 1, RMC, etc..., il faut aller plus loin, sur les fréquences modulaires MHz, FM, ou ailleurs. Sur les FM, elles sont légions, et encore plus, il existe d'excellentes radios. Pour les fêtes qui approchent, il n'y a que ça de mieux. Sans remonter l'historique de la radio, et sa "libéralisation", dans les années mitterrandiennes des années quatre-vingt, notons que, depuis, les radios ont toutes reçues leurs lettres de noblesse.  Pour mieux s'informer, se divertir, écouter des pubicités, la radio est et reste un bel outillage. Pas besoin de se ' légumer ' ou, se  'scotcher' devant un écran-télé. Une fois branchée, le son suffit. On peut écouter, tout en faisant autre chose. Et, se distraire.
En France, dans les années soixante, soixante-dix, quatre-vingt, voire même, dans les années quatre-vingt-dix, les radios avaient connues leurs années de gloire.
On adorait écouter hier, ça :  http://fr.youtube.com/watch?v=vGu5WDPzMpU    ,comme aujourd'hui en 2008, on aime et on peut rire avec ceci http://www.dailymotion.com/relevance/search/nicolas%2Bcanteloup/video/x7qbfb_nicolas-canteloup-revue-de-presque_fun ,
ou encore, cette ouverture à l'Afrique :
http://fr.youtube.com/watch?v=ra71FNGjQT8&feature=PlayList&p=2E7482AFF4389F09&playnext=1&index=18
D'ailleurs, les radios parisiennes n'ont commencé qu'à peine, de s'ouvrir aux autres communautés françaises.
Pour la communauté afro-antillaise, l'un des animateurs à être intégré dans le circuit, est un "Négropolitain" Antillais. Qu'on l'aime ou pas, Claudy Siar occupe donc une place bien à part. La radio reste une passion pour lui.
Dans cette communauté où tout succès dérange ou fait des jaloux primaire, il nous semble somcère et s'en défend bien. Pionnier de la radio, il nous parle de son parcours, et surtout ne cache pas son engagement  militant pour la cause et dignité des afro-caraïbéennes.
 http://video.google.fr/videosearch?q=claudy+siar&www_google_domain=www.google.fr&hl=fr&emb=0&aq=0&oq=claudy++#q=claudy%20siar%20ses%20d%C3%A9but%20%C3%A0%20la%20radio%20et%20t%C3%A9l%C3%A9&hl=fr&emb=0
Comme il adore la musique, il écrit et interprête aussi ses propres chansons.

http://www.dailymotion.com/video/x2a9mq_claudy-siar-zouke-decale_music
Animateur sur RFI (Radio France Internationale), ses émissions sont les plus écoutées. Il a sa propre radio, TROPIQUES FM, qu'il a fondé, diriige et anime. Ce n'est d'ailleurs pas la seule radio écoutée sur l'île-de-France. Il existe des radios afro-caraïbéennes comme l'Espace FM ( à écouter absolument, l'excellente émission hebdomadaire de Justin Lafilo ! ). http://www.espacefm.com/
Heureusement qu'avec le net, on peut surfer sur toutes les radios : ESPACE F.M., bien sûr, mais aussi, CARAIBES FM, NOSTALGIE FM HAITI, Radio Soleil d'Haïti, RFO Martinique ou Guadeloupe, WEST INDIES Radio, VOICE OF AMERICA, Africa Numéro 1, ou toutes autres que l'on peut trouver sur l'internet, en cliquant sur : RADIO  SOLO.



Partager cet article
Repost0
16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 16:00
Pour les pays pauvres, la Conférence de Poznan n'apporte pas de réel changement espéré pour l'environnement. Ils déplorent le nombrilisme et les réticences égoïstes pour mieux lutter contre le changement climatique, et la lutte contre la crise économique, les deux points qui ne se réjoignent pas encore. Certains pays par contre, ont adopté des objectifs plus ambitieux en matière de réduction des émissions d'effets de serre. Pour les mouvements de défense de l'environnement, des pays comme le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Japon, ont certes fait des progrès dans certains domaines, mais continuent de faire obstacle à la bonne marche ds discussions en cours. La réduction des émissions de gaz à effet de serre doit concerner tous les pays. Et pas que quelques individus ou des associations de la défense de l'Environnement. 
Or, à Bruxelles, à l'issue d'un Sommet pour l'environnement, les vingt-sept pays ont adopté un plan de lutte contre le réchauffement climatique visant de réduire de 20% les émissions européennes de gaz à effet de serre d'ici 2020 et que c'était cohérent d'associer les deux thèmes de l'écologie et de l'économie. Il était question de tenir compte de ce qui était dit et prévu lors du Traité de Lisbonne.
Tandis qu'à Poznan, l'optimisme n'était pas toujours de mise au rendez-vous  dès le premier jour. Les délégués conscient des enjeux, ont convenu de plusieurs rencontres intermédiaires en 2009, afin de parvenir à un accord contraignant à Copenhague, au Danemark. Des négociations qui porteront sur l'adoption d'une conception commune de la protection du climat, le développement d'objectifs mondiaux en matière d'émissions, la mise en place de mesures d'adaptation aux changements climatiques ainsi que la garantie et l'extension du transfert de technologies et de moyens financiers. Pourtant les fonds à disposition sont insuffisants. 80 millions de dollars ne sufiront pas pour les pays pauvres. Quant aux Nations Unies, il est prévu de récolter au plus, quelques dizaines de milliards de dollars d'ici 2030. Ce qui ne sera pa si facile, surtout lorsque l'on contaste que des pays importants comme les Etats-Unis, ou encore la Chine, l'Inde et le Brésil (des pays émergents et très puissants), qui n'ont toujours pas, jusqu'ici contracté aucune obligation, pour n'avoir pas ratifié le 'Protocole de Kyoto'. 
Les réticences américaines seront-elles modifiées avec une nouvelle administration qui prendra les affaires dès le 20 janvier, à Washington ? Attendons pour voir et gardons l'espoir.   A Bruxelles, tout comme à Poznan, on veut croire. Le président élu, Barack Obama, a mis l'environnement au coeur de ses priorités. 

Après de longues négocations, les dirigeants de 27 pays, à Poznan, en Pologne, se sont mis en ordre de bataille pour atteindre d'ici 2020 les trois objectifs qui sont : de réduire de 20% leurs émissions de gaz à effet de serre ; porter les énergies renouvelables à 20% ; et enfin, de réaliser les 20% d'économies.
On peut dire qu'en ce sens, l'Europe s'est, une foisde plus, livrée à des transactions digne de marchands de tapis. Des exemptions ont été pourtant obtenues par les uns et les autres. Et la proportion de permis de polluer qui devront acheter les industriels restera très faible jusqu'en 2013.
Salué comme un accord historique, ce texte a été condamné par les Organisations non-gouvernementales de l'Environnement, qui parlent d'un échec. Le grand problème, a-t-on dit, c'est la consommation. Les dirigeants européens sont restés sur les diminutions d'émissions dans le domaine industriel. Ils ne se sont pas donné les moyens d'atteindre l'objectif. De toutes les façons, on peut dire que cela va dans la bonne direction. Le contexte économique, la crise aidant, reste très dur pour tous. Encore que, cet objectif de 20% de diminution d'émissions, est sans doute trop modeste, et que l'on n'avance pas beaucoup. Pour maintenir le réchauffement à un niveau accepable, il faudrait naturellement visé une fourchette entre 25 et 40% de réduction des émissions d'ici à 2020.
Dans le même temps, à Poznan, la conférence de l'Organisation des Nations Unies sur le climat, chargée de préparer l'après-Kyoto, dopée par l'accord européen, s'est tournée vers e nouveau président élu américain.
Sur le plan écologie, les humains devraient savoir qu'il y a une urgence d'agir très rapidement pour le climat.
Peut-on dès lors attendre beaucoup de cette conférence de Poznan ? Il faut nuancer. Disons que celle-ci se situe entre celles de Bali et de Copenhague, en 2009. Il n'y a pas de recul par rapport à Bali. Les participants ont même élaboré un plan pour les égociations de l'an prochain. On espère beaucoup pour les deux grands pays que sont les Etats-Unis et la Chine. Tous les pays regardent à présent ce que vont faire ces deux pays sur ce plan.
Les discussions ont déjà permis de trouver un accord pour débloquer des millions de dollars afin d'aider les pays pauvres à faire face aux conséquences du réchauffement climatique, et qui les menace plus que d'autres.
Le plus urgent aujourd'hui, c'est d'espérer un accord au Danemark. Un accord qui remplacera celui de Kyoto.
D'ici là, les négociations internationales des pays du Nord et du Sud continuent d'avancer laborieusement, afin de trouver des points convergents pour l'Environnement.

Après la Conférence d'Alger, les pays africains avaient essayé de trouver un moyen d'adopter une position commune pour cette conférence de Poznan. Ils ont été un peu deçus puisqu'ils espéraient mieux de la part de ces pays riches. Ceux-ci n'ont pas clairement définis leurs objectifs de réduction, à moyen terme, de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ils ont aussi tenté d'exiger de la part des pays riches leur engagement de réduire de 25 à 40%, d'ici 2020, par rapport aux niveaux de 1990.
On se souvient que le continent africain était devenu un ' dépotoir ', pour les pays riches. Certains pays européens n'hésitaient pas d'aller déverser leurs saletés toxiques dans les pays côtiers d'Afrique noire. Plusieurs pays ont ainsi décharger des produits toxiques et qui continuent encore aujourd'hui à faire des dégâts sur la santé des populations aficaines. Ce qui a soulevé les indignations un peu partout dans le monde. Combien ont-ils dédommagés ces pays-victimes ? En Afrique australe, certains produits continuent de tuer les pauvres gens. 
L'Afrique ne doit pas servir de ' poubelle ', ni pour l'Europe, ni pour la Chine, encore moins pour qui que ce soit.
Il y a tout de même un double langage pour les pays riches. D'une part, ils parlent de l'écologie et de protéger l'environnement, et de l'autre, ils font l'inverse. Il est vrai que c'est louable, le progrès accomplit par l'Europe sur le plan environnemental depuis des nombreuses années. Mais l'Europe devrait aider l'Afrique. On ne veut plus voir trimbaler des résidus chimiques, et autres déchets toxiques, et qui se retrouvaient  souvent débarqués dans les décharges d'un quelconque pays ouest-africain, avec parfois le consentement d'intermédiaires locaux liés aux dictateurs alors mis en place, par des anciennes puissances coloniales. C'est pour cette raison que certains pays occidentaux n'ont pas accepté que le contrôle de certains convois (maritime, aérien, terrestre), échappent aux gouvernements de l'Union européenne. D'âpres discussions, dans ce sens, ont eu lieu, entre les pays du Nord et les pays du Sud. Ils mettent aussi en garde certains pays d'Asie, qui loin de respecter l'environnement africain, adoptent des comportemets bélliqueux. Aucun pays n'a le droit de violer les règles internationales. 
En Afrique australe, un pays comme l'Angola, par exemple, s'est penché sur les problèmes de l'Ecologie. Des mesures sont prises pour préserver et protéger l'environnement contre les pollutions. Mais des violations contre la nature africaine sont toujours possibles. Raison pour laquelle le probème de l'Environnement commence à intéresser beaucoup de pays en Afrique. Er donc, lorsqu'on parle de ' dévelppement durable en Afrique', les pays commencent à savoir de quoi on parle. Ils savent que désormais il faut saisir son importance pour les populations et leur environnement.  Un exemple, lorsque l'on parle avec raison de la déstruction de la forêt amazonienne en Amérique du Sud, il faut aussi rappeller que la Forêt Equatoriale est le 2è poumon de la planète. Il n'y a aucune raison de la détruire, encore moins sa faune, ni sa flore. (Pygmées, déboisements, extinctions des animaux comme les Gorilles, etc...). La protection de l'environnement en Afrique reste un combat pour tous les écologistes.
Depuis 1992, des progrès ont tout de même été accomplis. Surtout après la fameuse Conférence du CNUCED de Rio de Janeiro, au Brésil. La Conférence des Nations Unies sur l'Environnement a défini les principes fondametaux et le programme d'action qui permettait d'assurer un développement durable. La prise de conscience commence seulement à porter ses fruits. On voit que cela donne des résultats, après avoir observé les effets néfastes de la mondialisation, et ses effets pervers, de la crise alimentaire, et du changement climatique.
Le problème de la santé des Africains doit rester la priorité non seulement en Angola, en Afrique australe, mais aussi sur l'ensemble des pays du continent et dans le monde. Sur ce problème de l'Environnement, saluons ici une femme, la Kenyane WANGARI  MUTA  MAATHAI, prix Noblel de la paix 2004, qui reste un monument d'Afrique, une vraie militante très importante en ce qui concerne la protection de la forêt en Afrique, notamment celle du bassin du Congo, et de l'ensemble de l'environnement africain, en général. Sans la protection de cet environnement, on ne pourra jamais parler de la protection de la nature, ni du climat. Un combat que la Conférence de Poznan n'a, malheureusement, pas suffisament mis en avant. 
Partager cet article
Repost0
16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 15:21
Le président José Eduardo dos Santos entame depuis lundi une visite officielle en Chine. Un voyage de cinq jours. Et c'est le deuxième voyage du chef de l'Etat angolais dans ce pays-ami, en cinq mois.
La Chine et l'Angola entretiennent des bons rapports diplomatiques et économiques depuis la fin de la guerre en 2002. C'est pour cette raison économique, qui justifie cet important déplacement présidentiel. L'Angola veut aussi attirer de nouveaux investisseurs Chinois, à l'heure où le monde traverse une crise financière, même pour un pays riche en pétrole. Pragmatique, les Angolais sont conscients du poids de la baisse du prix du pétrole qui vient de perdre plus de sa valeur. Une matière qui est pour le moment sa principale source de devise. Cette baisse du prix du baril de pétrole qui, de l'été dernier, où il valait 150 dollars, est redescendu sous la barre de 40 dollars en ce début du mois de décembre 2008.
En relançant la coopération économique, avec cette visite, l'Angola vise le futur. La Chine a accordé plus de 7 milliards de dollars à l'Angola. La majorité de ces prêts sont payés en pétrole par l'Angola qui est devenu le premier fournisseur de brut de la Chine. Les investissements chinois et l'arrivée d'une importante main d'oeuvre chinoise jouent un rôle clé dans la réconstruction des infrastructures de l'Angola, ravagé par vingt-sept ans d'une guerre civile douloureuse. Aujourd'hui, tout visiteur se rend compte que ce pays est devenu un grand chantier à ciel ouvert. On construit partout. La ville de Luanda, capitale de l'Angola, subit des sérieuses transformations visuelles.
En 2007, plus de 40.000 visas angolais ont été accordés à des travailleurs chinois. Et la Chine s'est engagée de former le personnel angolais qualifié sur place. Plusieurs bourses sont accordés aux jeunes qui veulent suivre une formation sur place en Afrique, ou en Chine.  Une liaison aérienne directe entre Luanda-Pékin, de la Compagnie angolaise, TAAG, est inaugurée et opère deux fois par semaine.
La question sur la présence chinoise en Angola ne se pose plus. Les Chinois font des réalisations qui plaisent et profiteront aux Angolais. Des routes, des ponts, des pistes, des bâtiments, des chemins de fer, et tant d'autres.
Le lundi15 décembre, le président de la république de l'Angola s'est envolé en Chine. Il est accompagné par les ministres des Affaires étrangères, de Finances, et de Transports. Plusieurs autres accords de coopérations seront à l'ordre du jour, lors de diverses rencontres avec les autorités chinoises.
Partager cet article
Repost0
15 décembre 2008 1 15 /12 /décembre /2008 09:59
Dire que le président américain George W.Bush est le mal-aimé dans certains pays, c'est de la parole critique. Mais en déplacement discret en Irak, le dimanche 13 décembre, à Bagdad, où il est venu faire des adieux à ses "amis" du gouvernement irakien, et à troupes, au cours d'un discours d'adieu, un journaliste Irakien visiblement énervé, s'est levé et lancé ses deux chaussures en direction du président américain, qui a eu le reflèxe de les esquiver. http://www.dailymotion.com/video/x7qbzz_clash-bush-reoit-des-chaussures-com_news  Tout en criant en arabe : "Casse-toi, chien ! Vous êtes responsables de la mort des milliers de morts Irakiens !!!". 
Ce geste en dit long sur le sentiment de mépris à l'égard de George W.Bush.Celui qui a déclenché la guerre contre l'Irak et fait pendre le dictacteur Saddam Hussein.
Pour les Irakiens, c'était nécessaire de faire tomber ce régime de terreur et dictatorial. Depuis, l'armée américaine occupe l'Irak. Le peuple souffre. Toutes les raisons avancées ont-elles ramené la "démocratie" dans ce pays ?
http://www.dailymotion.com/relevance/search/bush%2Ben%2Birak/video/x4yaad_exlusivela-ralit-en-irak-14_news
http://www.dailymotion.com/relevance/search/bush%2Ben%2Birak/video/x4yag4_la-ralit-en-irak-24_webcam
http://www.dailymotion.com/relevance/search/bush%2Ben%2Birak/video/x4yasq_la-vrit-en-irak-34_news
En Irak, le peuple continue à souffrir. La sécurité n'est pas toujours bien assurée partout dans ce pays occupé.
Après avoir rallumé les feux de tensions et de guerres au Proche et Moyen-Orient, il sera difficile de les éteindre.  On commence seulement à mesurer les dégâts de cette admnistration Bush, qui, loin de ramener la paix, a déclenché quelque chose qui ressemble au chaos. Pas seulement en Irak d'ailleurs. Les tensions commencent à diminuer à la fin du mandat de Bush. On ne parle plus de l'anti-américanisme, et encore moins on accuse qui que ce soit lorsqu'il ose critiquer sa politique dans le monde.  Au cours d'une émission consacrée au Proche-Orient, les langues ont commencé à se délier. Même si le débât fut animé et vif, c'était toujours de la bonne tenue : 
http://www.dailymotion.com/video/x7ncjl_israel-letat-le-plus-raciste-au-mon_news  Pourtant le sujet était délicat !
Bien sûr qu'il faut faire ce bilan de l'administration Bush, pour que le nouveau pouvoir américain qui sera au à la Maison Blanche, ne refasse pas des bétises des précédents. 
De plus, un sévère bilan doit être fait aussi dans son propre pays, les Etats-Unis, comment il a su gérer les crises. 
George Walker Bush est le 43è Président des Etats-Unis. Né à New Haven,dans le Connecticut, le 7 juillet 1946, George W.Bush quittera ses fonctions à 63 ans, après deux mandats présidentiels.  Il fut élu pour la première fois, le 18 décembre 2000, puis réélu le 13 décembre 2004. Membre du parti républicain, sa vraie carrière et son importance ont réellement avec l'attentat terroriste du 11 septembre 2001.  Et comment il a su gérer cette crise horrible...   http://fr.youtube.com/watch?v=SiMKDKyeNiI
C'est une des premières critiques à lui faire. Mais il y en a tant d'autres encore qu'il a mal gerée et pris des décisions pas mûrement refléchies. C'est le moins que l'on puisse dire. 
Le 20 janvier 2009, il doit passer le pouvoir à un nouveau président élu, Barack Obama. Ce dernier est porteur d'espoir pour beaucoup d'Américains qui l'ont plébiscité. Espérant qu'ils vont aussi l'aider pour appliquer son programme politique. Le monde attend que ses premières décisions soient bénéfiques pour son pays, tout comme pour les restes du monde dont il aura la charge. Il est élu pour un mandat de quatre ans.
Il y a des signes qui ne trompent pas. Avant même d'accéder à La Maison Balnche, Barack Obama a fait souvent des discours apaisants. Le monde qui n'est pas encore sorti de la crise, a par contre, retrouvé le moral. Une façon de faire le deuil du bilan négatif de la politique de George W.Bush.
Nous reviendrons l'année prochaine sur cette nouvelle administration Obama qui se met en place.
Partager cet article
Repost0
14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 14:32
Le Ghana a toujours été l'un des pays préférés d'Afrique pour les institutions financières internationales, tel que le FMI, (Fonds Monétaire International).
Depuis des nombreuses années, les indicateurs économiques du Ghana affichent le vert. Le PNUD, (Programme des Nations Unies pour le Développement), donne souvent des rapports positifs, voire, très flatteurs, sur ses travaux réalisés dans ce pays. Il est vrai que, sur le plan économique, la croissance du PIB (Produit intérieur brut) du Ghana donne 6,3%, avec une inflation positive de plus de 10,9%. Des bons points donc, pour ce pays ouest-africain. Un meilleur résultat qui fait que les exportations ghanéennes se chiffrent à 3,7 milliards de dollars, alors que les exporations se chiffrent à 3,7 milliards de dollars, rien que pour l'année 2007.
Les 24 millions de Ghanéens assistent à un miracle économique. Ils ont appris avec bonheur la découvrte d'importants gisements de pétrole, qui fera entrer le pays dans ce club sélectif des producteurs de pétrole sur le continent africain. 
Les bonnes nouvelles ne viennent pas seules. Deux bonnes nouvelles pour la santé économique du pays et la découverte de cet or noir au Ghana. Cette nouvelle grande découverte dans le pays va permettre une production d'ici l'an 2010 près de 120.000 barils par jour, et dans les cinq prochaines années, une augmentation pouvant atteindre les 250.000 barils.
Le Ghana deviendra alors l'un de ces nouveaux et grands pays producteurs de l'Afrique. Adoptant une politique économique réaliste, la sagesse veut que le pays diversifie ses ressources naturelles. Des atouts naturels ne manquent pas : de l'or, du cacao, sans oublier le bois, pour ne citer que les plus exploitables. Le pétrole vient donc de s'ajouter pour combler ce vide, cette richesse recherchée dont le pays avait tant besoin.
Il faudrait que la politique se complète dans ces choix, qui jusqu'ici, réussissent si bien, et qui fait du Ghana un des modèles de développement sur le continent.
Partager cet article
Repost0
14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 11:25
Le Forum économique mondial se réunit chaque année à Davos, dans le canton des Grisons, en Suisse. Cette année encore, la réunion aura bien lieu le 28 janvier 2009, et toujours dans cette ville hélvétique. Depuis plusieurs décennies déjà, le Forum de Davos reste le grand endez-vous des grands décideurs de ce monde. Crée en 1971par un économiste suisse, cette rencontre des économistes est devenu surtout un grand rendez-vous des dirigeants politiques, et des grands de ce monde, et plus encore, des dirigeants d'entreprises du monde entier. 
En janvier 2009, la directrice de ce Forum Economique Mondial, Madame Kathrine Tweedie, a annoncé qu'elle vient de remettre une invitation à l'Angola, auprès du Ministre angolais des Relations Extérieures, Assunçao dos Anjos, afin que ce pays puisse participer au prochain forum à Davos. 
Qu'est-ce, en fait, ce Forum Economique Mondial ?  Le Forum de Davos est un club à but on lucratif qui comprend 735 chefs entreprises affiliées, représentées par leur présidents ou directeurs, qui payent 27300 euros pour en devenir membre. Il a été fondé par le professeur Klaus Schwab, et a pour but, par l'organisation d'échanges entre les milieux des affaires, de la politique, des ONG, et des milieux scientifiques, tous, invités " d'améliorer l'Etat du Monde". Vaste ambition qui dans la pratique se traduit par des échanges de vues à l'occasion du Forum annuel sur un sujet choisi comme thème de la manifestation et dont les organisateurs pensent que c'est un sujet important de débat pour la bonne marche du monde. Plusieurs thèmes sont à aborder.  Comme par exemple, la reflexion sur  les problèmes posés par l'intégration dans le monde des nouveaux pays émergents dont on s'aperçoient qu'il sont particulièrement créatifs et à ce titre plus difficilement assimilable dans l'ordre économique mondial sans un effort particulier de créativité de la part des pays industrialisés.

En d'autres termes, les pays émergents d'il y a 25ans(Japon,Corée, Taiwan) ont été absorbés sans mal par le système économique mondial grace à une montée en gamme lente et régulière accompagnée d'une montée des niveaux de vie et des prix de revient. Alors que les nouveaux pays émergents, (Brésil,Chine, Indes..), se singularisent par l'absence d'inflation des couts liès à la masse de main d'oeuvre disponible et une créativité beaucoup plus forte qui fait qu'ils se sont déjà positionnés sur la haute technologie plutôt que dans le rôle d'usine du monde que l'on pensait les voir jouer.

Leur intégration dans l'ordre économique mondial demandera donc une approche différente.

Pluieurs participants de différents pays, dont des  entreprises,des personalités du monde politique,des dirigeants d'ONG, des universitaires et chercheurs, des leaders de croyances religieuses et des journalistes invités.

Sur la plan pratique te méthodologique, des seminaires e colloques, pour discuter de ce vaste sujet et de sa déclinaison en "dix défis" comme suit :

L'ascension de la Chine et de L'inde ; La lutte pour l'accès aux richesses naturelles ; La transition d'une monde unipolaire dominé par les Etats Unis à un monde multipolaire ; Les déséquilibres financiers internationaux ; La suprématie de l'économie du savoir ; L'alternative entre déclin et vision globale nouvelle pour l'Europe ; Les interrogations suscitées par les élections en Irak,Israël et Pakistan(auquel on peut rajouter depuis ce matin en Palestine) ; Les conflits entre démocratie et efficacité ; Les pandémies ; Les conflits inter générationnels liès aux déficits publics. Très vaste et très intéréssant programme abordé.  En espérant qu'au dela des discussions, on sera arrivé à identifier des solutions à tous ces problèmes qui menacent l'équilibre qui menacent l'équilibre du monde. Le 28 janvier 2009 est la date fixée pour cette réunion du Forum Economique Mondial.
L'Angola qui affiche de plus en plus son ambition, a donc toute sa place dans ce Forum Economique Mondial de Davos, en Suisse. Le succès économique obtenu de ce pays n'est pas étranger à cette invitation.
Comme d'autres pays émergents, l'Angola a vu progresser son potentiel et son boom économique ces dernières années après les guerres qui avaient freiné son décollage. Plusieurs pays en Afrique commence à connaître une bonne croissance de leur économie. Le progrès accomplit par l'Angola fait que le pays affiche un bon profil.
Le budget général pour l'année 2009 semble satisfaisant pour poursuivre les plans d'actions mis en place par le gouvenement. Les investisseurs contineuent d'affluer en Angola. Beaucoup de pays font confiance à l'Angola.  La paix, la stabilité politique et militaire, font de l'Angolaun pays sûr, et une puissance en devenir pour l'Afrique.   Enfin, la reconstruction du pays est bien entamée. C'est cela qui manquait depuis longtemps. En affichant son succès, le pays avait bien sa place en Suisse. Davos 2008 sera un honneur pour ce gouvernement angolais.

Partager cet article
Repost0